[1011-A] Wellington DANTAS

L’atout offensif brésilien du Red Star (CFA), forfait dimanche en Coupe de France à l’Ararat Issy (DH) en raison d’une douleur à son genou droit, a trottiné hier et ne devrait reprendre l’entraînement collectif que demain.

Malheureusement , encore absent et au moins jusqu'à fin novembre .

Avec les blessures au genou on ne sait jamais vraiment comment ça évoluera ...

Site off
http://www.redstarfc93.fr/actualite.php?id=762

Au moins il a l'air concerné et pas de conflit apparent avec le coach!
Hâte qu'il revienne!!

Le parisien :
Mystère
Wellington Dantas (Red Star,CFA) s’est exprimé samedi sur la nature de ses maux à un genou. Opéré des cartilages, le Brésilien, en
instance de naturalisation, reçoit depuis des piqûres de viscosupplémentation, suite postopératoire classique.
Les huit premières n’avaient posé aucun problème. Mais la 9e a produit une réaction qu’aucun spécialiste ne parvient à expliquer.

Argg l'angoisse.
Mais que fait le professeur saillant?
;)

Reprend l'entrainement

qu'il se prépare pour le mois de janvier...

NEIL YOUNG a écrit:Reprend l'entrainement

Une très bonne nouvelle! Même s'il n'est pas prêt pour être dans le 11 de départ, il peut intégrer le banc et permettre d'avoir une réelle solution offensive sur le banc!

Il devrait reprendre la compétition à la reprise selon le site officiel

http://www.foot-national.com/flashes-19962.html

azulman93 a écrit:http://www.foot-national.com/flashes-19962.html

le club cristolien ?

Enfin, une bonne nouvelle de plus...

Vivement qu'il revienne pour qu'il puisse au moment rentré en fin de match et apporter sa vivacité et sa technique!!!

Son retour devient de plus en plus attendu et urgent !!

face à Quevilly cela serait bien

il joura peut etre avec la reserve dimanche

La DSR aura fière allure avec le renfort de Kamara, fardin,riba et peut etre Dantas , à suivre!!!

A t'il joué ce dimanche en DSR?
Si oui, quelle fut sa prestation ?

Doublé pour le brésilien ce week-end avec la B en Coupe du 93.
Bientôt en CFA...?

je pense que s'il a effectué tout le match avec l'équipe B il devrait au moins etre sur le banc contre Lens.

J' éspère que non seulement, il sera sur le banc à Drancy; mais qu' au moins il puisse rentrer ne serait ce qu' 1/4 d'heure en seconde mi-temps . . .
Il me tarde de le voir rejouer, comme beaucoup d'entre nous sur ce forum.

1 but de renard, une bonne capacité à conserver le ballon, même si parfois il gagnerait à le lâcher plus vite.
Bonne prestation, espérons qu'il finisse le championnat en trombe.

Moins en vue que contre Auber, vu la configuration du match et la domination de Sabin dans les airs, aurait peut être gagné à plus tourner autour de ce dernier mais c'est toujours plus facile à dire après.

Wellington Dantas revient de loin. Il aura fallu que le milieu offensif brésilien du Red Star tire au sort entre les cinq adresses d’ostéopathes trouvées lui-même sur Internet pour avoir une amère révélation l’hiver dernier : sa jambe droite est plus courte que la gauche de 18 mm. Une simple mesure et des semelles orthopédiques auraient pu lui éviter l’erreur de diagnostic qui lui a valu d’être opéré du ménisque en France (alors qu’il souffrait… du cartilage) en 2009, avant d’être « réparé » au Brésil en 2010.

Il pourrait en vouloir à la terre entière, Jesus Wellington Dantas, promis en 2004 à une carrière digne de celle de son ami, son « frère », le Lillois Tulio de Melo (ils étaient encore ensemble au Planet Hollywood des Champs-Elysées dimanche). Mais, désarmant, il n’en veut « à personne » et n’a de cesse de « remercier Dieu » de lui « donner une belle journée » chaque matin.

Une deuxième carrière à 28 ans
Pourtant, d’aiguillages hasardeux (Aalborg, Danemark; Kalba, Emirats arabes unis) en lendemains qui déchantent, le 3e buteur du National 2007-2008 (17 buts avec l’Entente) est contraint aujourd’hui d’entamer « une 2e carrière à 28 ans ».
Et c’est au Red Star — qui a eu la patience d’attendre entre octobre et fin janvier que le papa de Parïs (sa fille de 22 mois) identifie le mal qui le rongeait, se soigne et « réapprenne à marcher » — que l’enfant d’Itabuna veut aujourd’hui rattraper le temps perdu.

Tout avait pourtant bien débuté. Malgré une douleur permanente à son maudit genou, une condition physique « catastrophique » selon lui — « J’avais honte » —, Dantas avait mis quelques jours seulement à convaincre Alain Mboma et son staff l’été dernier. Talent intact, état d’esprit irréprochable… Le phénomène — que le président Haddad était venu observer dès sa première séance début juillet — avait tout pour devenir le Monsieur Plus du Red Star dans sa quête du National. Ses débuts, fin août, le confirment. Deux matchs, deux buts décisifs… A l’image de son club, qui s’installe déjà au sommet, l’époux de Mary est sur un nuage. Pas pour longtemps. Un traitement postopératoire normal après l’intervention subie en mars 2010 le laisse sur le carreau début octobre. Le doute ressurgit.

« Certains ont pensé que j’étais fini. Mais, dans mon appartement de Montreuil, il restait toujours un ballon. Je ne pouvais le toucher que du pied gauche. Je me suis dit que j’aimais trop ça, que c’était mon gagne-pain, ma vie tout simplement. J’ai connu la faim enfant, je suis parti de chez moi à 13 ans pour un centre de formation à 1200 km de mon père Aloïsio, qui m’a élevé seul. Ce n’était pas pour m’arrêter là. » Il le prouve fin janvier en reprenant l’entraînement, puis le 6 mars, à Drancy, en entrant en jeu douze minutes. Une semaine plus tard, il signe à Aubervilliers son 3e but. Une petite revanche sur le sort, déja ...

Jeudi, il est retourné, à notre invitation, sur la pelouse d’Hidalgo où il a vécu sa plus belle saison, il y a trois ans. Mètre par mètre, il y a revisité sa propre histoire. Le terrain d’entraînement où Julio Moreno, coach chilien de l’époque, l’avait refoulé dans une bordée d’insultes alors qu’il sollicitait un essai. Ce vestiaire où le même homme avait donné une carte blanche sans limite à son talent, dont il rigole encore. « Il m’avait dit : Ne joue qu’avec le ballon. Quand tu ne l’as pas, repose-toi. » Et puis, approchant de la surface de réparation, il s’est souvenu de ces buts « qui m’empêchaient de dormir ». Des coups d’éclat qu’il ne devait qu’à lui-même et l’ont fait entrer dans la mémoire des supporteurs val-d’oisiens. Ce soir, Willy assure pourtant qu’il ne fera aucun cadeau. « Il y aura un peu d’émotion avant. Mais, sur le terrain, je ne ferai plus de sentiments. On a une montée à aller chercher… »

(le parigot)

Pour une fois, je trouve cet article super sympa!
Merci Neil

ALLEZ WELLINGTON, METS NOUS CE SOIR TON 4 EME DE LA SAISON !